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Critique de LPV
Quatrième de la série brésilienne.
Encore un coup de maître.
Alors oui, Jean-Paul est un ami et, à bien des égards, mon mentor littéraire (sans lui, pas de premier roman, pas de Slip du Samouraï), mais quand même, c'est divin.
Encore une fresque monumentale, oui, encore une, sur un moment très méconnu de l'histoire du Brésil.On y passe par les fazendas de São Paulo et de Rio de Janeiro (et à Rio, on s'y croirait, tant il l'aime, cette ville) mais cette fois, il nous emmène aussi très loin au nord, dans le mystique, le mythique quilombo des Palmares.
La traversée en bateau, la remontée disons, ressemble fort à une scène d'Isla Negra, d'ailleurs.
Faut-il être un historien averti pour apprécier cette épopée à sa juste valeur ? Non. Et c'est bien là tout le charme de la plume d ce féru d'Histoire brésilienne, de ce conteur-né. Asseyez-vous autour du feu avec un verre de cachaça, et écoutez.
Encore un coup de maître.
Alors oui, Jean-Paul est un ami et, à bien des égards, mon mentor littéraire (sans lui, pas de premier roman, pas de Slip du Samouraï), mais quand même, c'est divin.
Encore une fresque monumentale, oui, encore une, sur un moment très méconnu de l'histoire du Brésil.On y passe par les fazendas de São Paulo et de Rio de Janeiro (et à Rio, on s'y croirait, tant il l'aime, cette ville) mais cette fois, il nous emmène aussi très loin au nord, dans le mystique, le mythique quilombo des Palmares.
La traversée en bateau, la remontée disons, ressemble fort à une scène d'Isla Negra, d'ailleurs.
Faut-il être un historien averti pour apprécier cette épopée à sa juste valeur ? Non. Et c'est bien là tout le charme de la plume d ce féru d'Histoire brésilienne, de ce conteur-né. Asseyez-vous autour du feu avec un verre de cachaça, et écoutez.
