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Critique de PetitVelociraptor
Victor, jeune dessinateur en mal de création, se voit offrir un travail par un homme étrange. Monsieur H, puisque c'est ainsi qu'il se fait appeler, lui propose de réaliser une série d'oeuvre inspirées de ses patients contre une rémunération gratifiante. L'expérience sociale déshumanisante de ces hommes et de ces femmes « sensibles », de ces « inadaptés », vont l'amener à interroger sa condition humaine et d'artiste dans la société contemporaine.
Cette bande-dessinée est la première que publie Michel Délié. Elle est tantôt espiègle, tantôt criante, toujours ponctuée d'un humour propre à l'auteur. le trait de l'artiste fait écho à sa plume. Il a choisi, pour le colorer, une teinte sépia qui invite à plonger avec l'artiste dans son étrange introspection.
Je ne suis pas amatrice de bande dessinée. J'ai choisi de postuler pour celle-ci dans le cadre de la masse critique car la thématique m'intriguait. J'en suis arrivée à la conclusion que mon intuition était erronée et que je n'étais pas le public auquel était destiné cette bande-dessinée.
Abordées avec simplicité, les questions sociales et psychologiques qui composent l'ouvrage ne m'ont pas amenée à m'interroger et à voir le monde sous un angle nouveau. En ressort que je suis restée à distance durant ma lecture. Je noterais que les bulles, souvent chargées, alourdissent la vue d'ensemble et desservent le graphisme et la capacité du lecteur à s'y immerger. L'humour qui l'habille le propos, enfin, très « gaulois » dans son genre, n'est pas le mien.
Je reconnais en revanche à l'auteur d'avoir un univers bien à lui. Celui qui appréciera sa ligne saura sans doute davantage apprécier son introspection.
Cette bande-dessinée est la première que publie Michel Délié. Elle est tantôt espiègle, tantôt criante, toujours ponctuée d'un humour propre à l'auteur. le trait de l'artiste fait écho à sa plume. Il a choisi, pour le colorer, une teinte sépia qui invite à plonger avec l'artiste dans son étrange introspection.
Je ne suis pas amatrice de bande dessinée. J'ai choisi de postuler pour celle-ci dans le cadre de la masse critique car la thématique m'intriguait. J'en suis arrivée à la conclusion que mon intuition était erronée et que je n'étais pas le public auquel était destiné cette bande-dessinée.
Abordées avec simplicité, les questions sociales et psychologiques qui composent l'ouvrage ne m'ont pas amenée à m'interroger et à voir le monde sous un angle nouveau. En ressort que je suis restée à distance durant ma lecture. Je noterais que les bulles, souvent chargées, alourdissent la vue d'ensemble et desservent le graphisme et la capacité du lecteur à s'y immerger. L'humour qui l'habille le propos, enfin, très « gaulois » dans son genre, n'est pas le mien.
Je reconnais en revanche à l'auteur d'avoir un univers bien à lui. Celui qui appréciera sa ligne saura sans doute davantage apprécier son introspection.
