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Critique de jamiK
Les illustrations sont en noir et blanc, un dessin au trait avec des nuances en lavis, plus ou moins posées en aplats, les décors sont limités à l'essentiel, les personnages sont simples, deux ou trois traits, privilégiant l'expression des postures. Chaque page est présentée de la même manière, 15 vignettes de même taille avec des marges assez importantes, cela donne un quadrillage répétitif.
C'est une suite de petites histoires sans paroles, centrées sur les relations hommes-femmes, de couples, de séduction, d'érotisme, de sexe, de violence… mais toujours teintées de fantastique, du genre qui surprend, inventif, on ne s'y attend jamais. Ce n'est pas l'humour que l'on connait de Guy Delisle, c'est moins ironique, plus absurde et plus noir, ce n'est pas non plus du genre qui fait rire aux éclats, mais qui donne à réfléchir, qui crée la surprise, incongru, inattendu, surréaliste. Je trouve qu'il s'en sort bien dans ce registre qu'il a pourtant abandonné depuis longtemps. On ne saurait cependant le lui reprocher.
C'est une suite de petites histoires sans paroles, centrées sur les relations hommes-femmes, de couples, de séduction, d'érotisme, de sexe, de violence… mais toujours teintées de fantastique, du genre qui surprend, inventif, on ne s'y attend jamais. Ce n'est pas l'humour que l'on connait de Guy Delisle, c'est moins ironique, plus absurde et plus noir, ce n'est pas non plus du genre qui fait rire aux éclats, mais qui donne à réfléchir, qui crée la surprise, incongru, inattendu, surréaliste. Je trouve qu'il s'en sort bien dans ce registre qu'il a pourtant abandonné depuis longtemps. On ne saurait cependant le lui reprocher.
