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Critique de bdelhausse
La tétralogie s'annonçait assez intéressante. En 1945, un nommé Heinrich Himmel s'embarque à bord d'un U-Boot pour l'Amérique latine. Il s'agir en fait du Docteur Mengel, qui va poursuivre ses travaux sur le surhomme et la vie éternelle. Ses expérimentations se révèleront fatales pour l'équipage qui ne survivra pas...
Ensuite au gré des tomes on va passer de 1945 à 2040, puis 2059, et retour vers 1940, j'en passe et des meilleures.
Dans le tome 2, Heinrich Himmel (le même qu'en 1945) est assassiné par Jude, une jeune juive (du moins se croit-elle juive) élevée dans la haine du criminel nazi, par son grand-père... Sauf que cet homme n'est pas son grand-père... Il est le bras droit d'Heinrich Himmel, qui fait main basse sur l'empire industriel d'Heinrich Himmel. Et en même temps, il fait main basse sur Jude, la source de la longévité d'Himmel...
Quelques révélations dans ce tome 3. Surtout des mises au clair, afin que le lecteur soit bien convaincu d'avoir compris. Ce n'est pas plus mal pour le lecteur... On peut remercier Delitte pour sa pédagogie, son didactisme. C'est clair.
Mais on peut surtout reprocher un découpage temporel trop haché. On est quasiment au mois par mois... On peut également déplorer un tome finalement assez creux. Pour que le lecteur ait toutes les clés, on a pas mal de redites, de redondances.
Si le dessin est toujours parfait, le récit pêche donc, à mon avis, par son scénario. le scénario est assez simple, mais on sent Delitte soucieux de compliquer les choses artificiellement par le découpage temporel susmentionné. Et paradoxalement, tout en complexifiant le récit par un découpage extrême et un mélange des séquences temporelles, Didier Convard se met à répéter les explications. Et ce n'est pas idéal.
Ensuite au gré des tomes on va passer de 1945 à 2040, puis 2059, et retour vers 1940, j'en passe et des meilleures.
Dans le tome 2, Heinrich Himmel (le même qu'en 1945) est assassiné par Jude, une jeune juive (du moins se croit-elle juive) élevée dans la haine du criminel nazi, par son grand-père... Sauf que cet homme n'est pas son grand-père... Il est le bras droit d'Heinrich Himmel, qui fait main basse sur l'empire industriel d'Heinrich Himmel. Et en même temps, il fait main basse sur Jude, la source de la longévité d'Himmel...
Quelques révélations dans ce tome 3. Surtout des mises au clair, afin que le lecteur soit bien convaincu d'avoir compris. Ce n'est pas plus mal pour le lecteur... On peut remercier Delitte pour sa pédagogie, son didactisme. C'est clair.
Mais on peut surtout reprocher un découpage temporel trop haché. On est quasiment au mois par mois... On peut également déplorer un tome finalement assez creux. Pour que le lecteur ait toutes les clés, on a pas mal de redites, de redondances.
Si le dessin est toujours parfait, le récit pêche donc, à mon avis, par son scénario. le scénario est assez simple, mais on sent Delitte soucieux de compliquer les choses artificiellement par le découpage temporel susmentionné. Et paradoxalement, tout en complexifiant le récit par un découpage extrême et un mélange des séquences temporelles, Didier Convard se met à répéter les explications. Et ce n'est pas idéal.
