Alors que ce matin on s'intèressait au second long métrage de son rejeton de cinéaste , quelques petits mots sur le paternel ,
David Cronenberg , actuellement mis en lumière par une belle publication édité chez Playlist Society
Après ses débuts dans la sphère underground de Toronto, à la fin des années 1960,
David Cronenberg s'est imposé comme un auteur majeur capable de passer avec aisance du mainstream à l'expérimental, sans perdre sa singularité de cinéaste.Chez Cronenberg, la transgression n'est jamais totalement gratuite et sert d'appui à une observation souvent clinique des tréfonds de la psyché humaine ,souvent à l'aune du lien très étroit entre corps et esprit.
A la lecture de cet essai court mais dense, clair mais complexe, on se rend compte que Cronenberg n'a aucunement usurpé son excellente réputation auprès des cinéphiles de tous bords et que sa filmographie peut se lire sous de nombreuses grilles de lecture.
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http://www.baz-art.org/archi.. Commenter  J’apprécie         10