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Critique de Darlic
Un tome plus en subtilité où beaucoup d'informations vont gravités. On va dire que l'action retombe, un peu, sans doute pour repartir de plus belle. Nouvel environnement, implique nouveau plantage de décor pour approfondir l'intrigue.
La fin du précédent tome avait laissé Ray face à des ennemis ultra dangereux, des prédateurs redoutables. On voit enfin les monstres dans leur toute redoutable ampleur. Ray, malgré son incroyable courage, fait pâle figure quand un mystérieux cavalier le sauve de justesse.
Les autres quant à eux tombent sur une étrange jeune fille au visage à moitié dissimulé. Cette double aide est bien commode on va dire. Mais elle n'est pas vraiment désintéressée. Car dans ce monde comme dans le nôtre aucun geste n'est gratuit, par contre la trahison est le geste le plus courant dont est capable l'être humain.
La grande force de ce petit groupe unis est vierge de toute la laideur de l'humanité. La part d'innocence que nous avons tous à notre naissance. En grandissant on s'adapte à ce monde hostile en reproduisant souvent ce que l'homme à de plus fourbes. Ici le groupe de Emma et Ray sont bien décidés à ne pas se laisser corrompre par la laideur de ce nouveau monde qui s'ouvre devant eux. Sauvés tout le monde voilà leur but premier.
En compagnie de leurs nouveaux alliés ils vont en apprendre beaucoup plus sur leur monde. Ils vont rentrer dans une sorte de stage intensif de survie. Les révélations sont lourdes de conséquences car ils vont comprendre ce qu'ils sont réellement. Une espèce d'élevage bio, élevé dans le respect de l'art. Mais leur sort au final est-il plus envieux que ceux élevés en batterie et qui n'ont conscience de rien ?
Ce tome va très loin dans la réflexion de notre société en décrépitude. Une fois prêt nos compagnons réparent là où Minerva leur indique où est le point suivant de leur voyage. Ils tombent alors sur un espèce de bunker à la Lost où les attend un étrange individu.
A ne pas douter que le prochain tome va nous faire repartir vers de nouveaux rebondissements. Nos compagnons le savent ils ne sont très certainement pas au bout de leur peine.
La fin du précédent tome avait laissé Ray face à des ennemis ultra dangereux, des prédateurs redoutables. On voit enfin les monstres dans leur toute redoutable ampleur. Ray, malgré son incroyable courage, fait pâle figure quand un mystérieux cavalier le sauve de justesse.
Les autres quant à eux tombent sur une étrange jeune fille au visage à moitié dissimulé. Cette double aide est bien commode on va dire. Mais elle n'est pas vraiment désintéressée. Car dans ce monde comme dans le nôtre aucun geste n'est gratuit, par contre la trahison est le geste le plus courant dont est capable l'être humain.
La grande force de ce petit groupe unis est vierge de toute la laideur de l'humanité. La part d'innocence que nous avons tous à notre naissance. En grandissant on s'adapte à ce monde hostile en reproduisant souvent ce que l'homme à de plus fourbes. Ici le groupe de Emma et Ray sont bien décidés à ne pas se laisser corrompre par la laideur de ce nouveau monde qui s'ouvre devant eux. Sauvés tout le monde voilà leur but premier.
En compagnie de leurs nouveaux alliés ils vont en apprendre beaucoup plus sur leur monde. Ils vont rentrer dans une sorte de stage intensif de survie. Les révélations sont lourdes de conséquences car ils vont comprendre ce qu'ils sont réellement. Une espèce d'élevage bio, élevé dans le respect de l'art. Mais leur sort au final est-il plus envieux que ceux élevés en batterie et qui n'ont conscience de rien ?
Ce tome va très loin dans la réflexion de notre société en décrépitude. Une fois prêt nos compagnons réparent là où Minerva leur indique où est le point suivant de leur voyage. Ils tombent alors sur un espèce de bunker à la Lost où les attend un étrange individu.
A ne pas douter que le prochain tome va nous faire repartir vers de nouveaux rebondissements. Nos compagnons le savent ils ne sont très certainement pas au bout de leur peine.
