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Comme un cri de biffure est un cri multiple, dix-huit nouvelles à travers lesquelles les personnages de Francis Denis se lancent à la recherche d'un écho aux souffrances qu'ils ont vécues, un halo de lumière au fond de la nuit noire… Un Pourquoi, un Comment au sens de leurs vies…
Ces nouvelles me sont apparues sombres pour une majorité d'entre elles, abordant de nombreux thèmes sociétaux tels que la solitude, la violence familiale, la fuite en avant, l'absence… mais on y rencontre également d'autres thèmes plus lumineux comme l'amour, l'enfance, le lâcher-prise et le retour à l'essentiel.
Certaines de ces nouvelles m'auront moins parlé mais d'autres, au contraire, ont su me toucher par l'insouciance, la fragilité ou l'attachement que l'on porte à leurs protagonistes, comme la petite Rose, revenue dans la cour de son enfance pour y surmonter les angoisses de sa jeunesse bafouée et s'affranchir du passé (La cour) ; Lise, qui, aidée de Ma'Paule, parviendra à fuir les horreurs de la guerre, embarquant dans le train de l'espoir, et rencontrera l'amour (Hanneton vole) ; Ce petit écolier qui se remémore les fantômes et les souvenirs d'adolescent (L'âge de raison) ; Ce vieux couple qui affrontera la maladie jusqu'au fond de la nuit, enrobée de leur amour l'un envers l'autre (Délivrance) ou encore ce regard que dévoile Francis Denis sur le handicap, le rejet et la solitude (Nettoyage par le vide).
Tout comme avec Jardin(s), son précédent ouvrage, Francis Denis nous plonge dans son univers imaginaire doux-amer tout en mettant en lumière, comme un cri venu des profondeurs de la nuit, tous ces maux qui font de nous des êtres fragiles.
Merci pour cette dédicace Francis, ainsi que pour notre récente rencontre en compagnie d'Alain Cadéo.
Critique de DavidG75
Comme un cri de biffure est un cri multiple, dix-huit nouvelles à travers lesquelles les personnages de Francis Denis se lancent à la recherche d'un écho aux souffrances qu'ils ont vécues, un halo de lumière au fond de la nuit noire… Un Pourquoi, un Comment au sens de leurs vies…
Ces nouvelles me sont apparues sombres pour une majorité d'entre elles, abordant de nombreux thèmes sociétaux tels que la solitude, la violence familiale, la fuite en avant, l'absence… mais on y rencontre également d'autres thèmes plus lumineux comme l'amour, l'enfance, le lâcher-prise et le retour à l'essentiel.
Certaines de ces nouvelles m'auront moins parlé mais d'autres, au contraire, ont su me toucher par l'insouciance, la fragilité ou l'attachement que l'on porte à leurs protagonistes, comme la petite Rose, revenue dans la cour de son enfance pour y surmonter les angoisses de sa jeunesse bafouée et s'affranchir du passé (La cour) ; Lise, qui, aidée de Ma'Paule, parviendra à fuir les horreurs de la guerre, embarquant dans le train de l'espoir, et rencontrera l'amour (Hanneton vole) ; Ce petit écolier qui se remémore les fantômes et les souvenirs d'adolescent (L'âge de raison) ; Ce vieux couple qui affrontera la maladie jusqu'au fond de la nuit, enrobée de leur amour l'un envers l'autre (Délivrance) ou encore ce regard que dévoile Francis Denis sur le handicap, le rejet et la solitude (Nettoyage par le vide).
Tout comme avec Jardin(s), son précédent ouvrage, Francis Denis nous plonge dans son univers imaginaire doux-amer tout en mettant en lumière, comme un cri venu des profondeurs de la nuit, tous ces maux qui font de nous des êtres fragiles.
Merci pour cette dédicace Francis, ainsi que pour notre récente rencontre en compagnie d'Alain Cadéo.
