Secret Breakers, À l'école des décrypteurs, tome 1 : Le Code de l'Oiseau de Feu

Les codes sont comme les gens, finit-il par dire. Il en existe de toutes sortes. Nous voyons l'extérieur de la personne et pensons la connaître. Mais c'est en l'observant sous un autre angle, en la regardant différemment, que nous parvenons réellement à saisir sa personnalité. La surface n'est pas le fond.

- Nan. Mon truc à moi, c'est l'espace et les formes. Merci de t'en souvenir. J'ai un sens très développé pour ce qui est de l'organisation spatiale.
- Génial, ricana Hunter. Trop utile comme truc. Nous n'avons plus que cinq minutes. Niveau espace et formes, comment tu le sens, là?
- Ben, en fait...

Qui dit secret à protéger, dit ennemis à berner. Je me suis aussi intéressée aux récits de destruction de livres.L'événement que j'évoque, survenu au cours de la Première Guerre Mondiale, est un fait historique réel. Le professeur Van der Essen a bel et bien enterré une boîte en métal contenant un certain manuscrit suite à l'incendie de la bibliothèque de Louvain. Ces incendies et destructions de livres par le feu sont des choses qui m'effraient et me hantent. Quand on détruit les histoires d'une nation, c'est leur histoire qu'on détruit. De même que la voix de ses citoyens et leur sentiment de communauté.

Trop bien. Moi je les eu pour mes 11 ans et je les adorés.
J'ai trop envie d'avoir les autres ou au moins de les lires car c'est trop bien

De fait, le meilleur moyen de garder un secret, c'est de n'en parler à personne.

Quand on détruit les histoires d'une nation, c'est leur histoire que l'on détruit. De même que la voix de ses citoyens et leur sentiment de communauté.

Qui dit secret à protéger, dit ennemis à berner.

La lumière est le savoir.

Les meilleures énigmes reposent toutes sur des choses que l’on a apprises et que l’on pense avoir oubliées.

La lumière est le savoir.