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Critique de FlavieFleurBleue
C'est une première romance contemporaine pour Aurélie Depraz et franchement… BRAVO ! J'ai frôlé le coup de coeur, mais les trop longues, pointilleuses et nombreuses descriptions ont un peu alourdi mon ressenti.
L'immersion au sein de l'ouest américain est impeccable. Bien que certains détails soient superflus, je dois dire que c'est l'une des rares romances contemporaines qui m'a autant immergée dans ce pays.
Aucun doute ne persiste quant au décor et à la nationalité des personnages. Des grands paysages de l'état du Montana, à l'histoire de la conquête de l'ouest, en passant par les habitudes des américains et surtout, des cow-boys, aucun grain de sable n'a été oublié, Aurélie Depraz a pensé à tout (peut-être d'ailleurs trop).
En fait, “l'immersion” est à la fois la grande qualité et le talon d'Achille de l'auteure. A vouloir bien faire les choses, on en fait parfois un peu trop, et je l'ai beaucoup ressenti au début du récit. Les deux premiers chapitres étaient “plombés” de descriptions beaucoup, beaucoup trop longues et fournies de détails.
J'ai même hésité à stopper ma lecture tant les descriptions prenaient de la place et que je n'arrivais pas à rentrer dans l'histoire.
Mais j'ai persisté et franchement, WOW !
Passé la première moitié du récit avec sa peuplade de descriptions, le récit défile tout seul ! Les réacteurs redémarrent, le rythme s'envole et je n'ai plus vu le temps passer. L'histoire d'amour prend enfin forme. Elle est bien construite, haletante, douce, parsemée de doutes, d'embûches, d'intenses moments de suspens, de partage et d'amour.
Il y a encore de nombreuses descriptions – notamment sur le monde du rodéo – mais elles sont insérées à des moments propices et ne font pas “effet de masse.”
Petit focus sur les personnages secondaires, eux aussi aux contours très structurés ! Impossible de les confondre tant ils sont bien faits et parlants. de plus, ils servent à l'intrigue, animent le récit et portent leur rôle d'adjuvants (ou de méchants) avec brio.
Je termine par quelques petits “couacs” portés sur la forme : Les chapitres sont trop longs aussi, à mon goût. Une demi-heure selon Kindle, voire une heure, je trouve ça beaucoup.
Le deuxième point est la présence trop nombreuses de phrases entre parenthèses. Quelque fois, pourquoi pas, mais si souvent utilisées dans un récit, ça fait “buter” le rythme de la lecture.
Conclusion, “Retour à Blue Valley” vaut le détour. Oui, oui, je t'assure. Malgré les trop grandes et nombreuses descriptions et les petits couacs, l'histoire d'amour entre Kate et Luke est tellement, mais tellement bien décrite qu'il faut mettre de côté les défauts pour apprécier toute la qualité du récit et le voyage en Amérique !
L'immersion au sein de l'ouest américain est impeccable. Bien que certains détails soient superflus, je dois dire que c'est l'une des rares romances contemporaines qui m'a autant immergée dans ce pays.
Aucun doute ne persiste quant au décor et à la nationalité des personnages. Des grands paysages de l'état du Montana, à l'histoire de la conquête de l'ouest, en passant par les habitudes des américains et surtout, des cow-boys, aucun grain de sable n'a été oublié, Aurélie Depraz a pensé à tout (peut-être d'ailleurs trop).
En fait, “l'immersion” est à la fois la grande qualité et le talon d'Achille de l'auteure. A vouloir bien faire les choses, on en fait parfois un peu trop, et je l'ai beaucoup ressenti au début du récit. Les deux premiers chapitres étaient “plombés” de descriptions beaucoup, beaucoup trop longues et fournies de détails.
J'ai même hésité à stopper ma lecture tant les descriptions prenaient de la place et que je n'arrivais pas à rentrer dans l'histoire.
Mais j'ai persisté et franchement, WOW !
Passé la première moitié du récit avec sa peuplade de descriptions, le récit défile tout seul ! Les réacteurs redémarrent, le rythme s'envole et je n'ai plus vu le temps passer. L'histoire d'amour prend enfin forme. Elle est bien construite, haletante, douce, parsemée de doutes, d'embûches, d'intenses moments de suspens, de partage et d'amour.
Il y a encore de nombreuses descriptions – notamment sur le monde du rodéo – mais elles sont insérées à des moments propices et ne font pas “effet de masse.”
Petit focus sur les personnages secondaires, eux aussi aux contours très structurés ! Impossible de les confondre tant ils sont bien faits et parlants. de plus, ils servent à l'intrigue, animent le récit et portent leur rôle d'adjuvants (ou de méchants) avec brio.
Je termine par quelques petits “couacs” portés sur la forme : Les chapitres sont trop longs aussi, à mon goût. Une demi-heure selon Kindle, voire une heure, je trouve ça beaucoup.
Le deuxième point est la présence trop nombreuses de phrases entre parenthèses. Quelque fois, pourquoi pas, mais si souvent utilisées dans un récit, ça fait “buter” le rythme de la lecture.
Conclusion, “Retour à Blue Valley” vaut le détour. Oui, oui, je t'assure. Malgré les trop grandes et nombreuses descriptions et les petits couacs, l'histoire d'amour entre Kate et Luke est tellement, mais tellement bien décrite qu'il faut mettre de côté les défauts pour apprécier toute la qualité du récit et le voyage en Amérique !
