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Critique de Livrepassion16
Je remercie les éditions La Baconnière et Babelio pour l'envoi de ce livre lors de la Masse Critique de septembre.
Voici ma chronique :
Tout d'abord, mon ressenti; j'ai eu du mal à lire cette biographie peu conventionnelle de Winston Churchill.
Le style d'écriture m'a déconcertée. Beaucoup de phrases sans verbe, de temps en temps la première personne est utilisée; tout à coup, l'autrice change d'époque et nous parle de personnages contemporains pendant deux pages juste pour les comparer à Winston.
Je compare ce texte à un puzzle difficile dont je n'avais pas toutes les pièces. En effet, je ne connais pas assez la vie du personnage ni les évènements liés à la guerre et encore moins les décisions prises par lui. Ce que j'ai compris, c'est que pour Winston, c'est toujours Noël, il ne renonce pas à son train de vie et continue à faire des repas gastronomiques avec des personnalités politiques afin de mieux les cerner.
Il y a beaucoup de références à la nourriture, aux repas de Noël où la famille de Winston se régale de victuailles ayant disparu de la surface de la terre, par exemple une corbeille de fruits de tous les pays.
Son refuge, c'est sa maison de Chartwell, un manoir entouré d'une trentaine d'hectares dont il n'est pas sûr de pouvoir assurer l'entretien acquis à l'insu de sa femme.
Pour terminer cette chronique, je conseille la lecture de cette biographie aux personnes qui se sont intéressées à ce grand homme; il y a des anecdotes savoureuses.
Quant à moi, je n'ai pas été sensible à cette biographie libre de Corinne Desarzens, hélas.
Voici ma chronique :
Tout d'abord, mon ressenti; j'ai eu du mal à lire cette biographie peu conventionnelle de Winston Churchill.
Le style d'écriture m'a déconcertée. Beaucoup de phrases sans verbe, de temps en temps la première personne est utilisée; tout à coup, l'autrice change d'époque et nous parle de personnages contemporains pendant deux pages juste pour les comparer à Winston.
Je compare ce texte à un puzzle difficile dont je n'avais pas toutes les pièces. En effet, je ne connais pas assez la vie du personnage ni les évènements liés à la guerre et encore moins les décisions prises par lui. Ce que j'ai compris, c'est que pour Winston, c'est toujours Noël, il ne renonce pas à son train de vie et continue à faire des repas gastronomiques avec des personnalités politiques afin de mieux les cerner.
Il y a beaucoup de références à la nourriture, aux repas de Noël où la famille de Winston se régale de victuailles ayant disparu de la surface de la terre, par exemple une corbeille de fruits de tous les pays.
Son refuge, c'est sa maison de Chartwell, un manoir entouré d'une trentaine d'hectares dont il n'est pas sûr de pouvoir assurer l'entretien acquis à l'insu de sa femme.
Pour terminer cette chronique, je conseille la lecture de cette biographie aux personnes qui se sont intéressées à ce grand homme; il y a des anecdotes savoureuses.
Quant à moi, je n'ai pas été sensible à cette biographie libre de Corinne Desarzens, hélas.
