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Critique de Davalian


Voici une quatrième aventure du Scorpion construite en dents de scie. Laissé sur sa faim à la fin du tome précédent, Desberg nous dévoile enfin l'issue des différentes tractations menées par Trebaldi. Est-il heureux pour autant ? Difficile de répondre, tant le personnage gagne il ici en complexité. La joie des relectures offre quelques informations... intéressantes.
Le Scorpion reste à l'égal de lui-même et redevient un héros de cape et d'épée. La (longue) scène se déroulant dans les cales du navire n'offre guère d'intérêt... sinon un comique regrettable. L'apparition d'Ansea Latal apporte beaucoup. Idem pour le final dans les archives ottomanes. L'utilisation de sources, l'incipit, le retour à l'archéologie se marient bien avec des scènes d'action, dont certaines sont fabuleuses (le port, les jardins du palais...).
Le changement d'univers des dernières pages s'accompagne d'une ambiance renouvelée. Assurément, nous aurions aimé rester plus longtemps à Istanbul et un peu moins en mer. Marini apporte donc beaucoup à une intrigue qui promet de bons moments, exotiques, tout en préservant un lien logique avec le scénario romain originel.
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