Ils étaient cinq

Adressée personnellement par message électronique au capitaine Antoine Brémont, une vidéo montre une scène de torture visiblement filmée en direct : l'homme est encore en vie… mais pour combien de temps et dans quel état ?
Un SMS à suivre doit lui permettre de le retrouver… et surtout, laisse entendre que l'histoire ne fait que commencer : d'autres victimes suivront !
Une course contre la montre s'engage entre l'équipe d'Antoine et les tortionnaires, clairement visibles sur la vidéo lorsqu'ils adressent leur message au capitaine mais impossibles à identifier avec leurs vêtements noirs et leur masque…
Des pistes s'ouvrent et aucune ne se referme rapidement, ce qui complique la tâche… d'autant que le capitaine Brémont se sent investi de cette enquête et refuse dans l'immédiat un quelconque soutien d'une autre équipe. Les ravisseurs/meurtriers s'adressent directement à lui : il doit comprendre pourquoi s'il veut résoudre ces énigmes…
Ils étaient cinq est un thriller mené tambour battant à l'intrigue bien construite : les enlèvements suivis de meurtres se succèdent et les enquêteurs paraissent bien impuissants à les arrêter !
Seule certitude : de tels sévices ne peuvent être que synonymes de vengeance !
Même si mes soupçons se sont assez vite portés sur l'instigateur de cet enchainement, Sandrine Destombes m'a offert un bon moment de lecture avec « Ils étaient cinq ».
Vivement le salon de Sens pour y acquérir son petit dernier (Les disparus de la Durance) 😊