Matisse lui-même a dit à de nombreuses reprises dans ses "Écrits et propos sur l'art" comment la fenêtre lui avait permis de réaliser son idéal esthétique, l'expression de la sensation par les objets qui l'entourent.
Comme Faust et comme le diable, le poète ne se satisfait pas du monde tel qu'il est ; à lui, donc, de le casser, de l'embellir, de le changer, n'importe, pourvu qu'il ne reste pas tel qu'il l'a trouvé en naissant à lui. (p.50)