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Sans doute aurais-je gagné à me renseigner sur l'auteur. J'aurais ainsi découvert son projet littéraire et n'aurais probablement pas été autant déçue.
Je viens de lire la 4e de couverture, elle est très éclairante sur l'approche de l'auteur. Je m'étais arrêtée aux premières lignes et j'avais pensé entamer un « roman sans fiction » sur les destins comparés de deux militants indiens, Ghandi et Pandurang Khankhoje dont je n'avais jamais entendu parler.
Eh bien, je n'en sais pas beaucoup plus. le livre est davantage le récit de la méthode de l'auteur qu'une biographie. le passé et le présent se mélangent, les digressions sont légion ainsi que les phrases à rallonge avec propositions relatives indigestes.
Heureusement, je maîtrisais certains sujets, notamment celui de Diego Rivera et de Léon Trotski. Mais ça m'a surtout servi de masque à oxygène, histoire de reprendre mon souffle entre deux passages dont je ne comprenais pas grand-chose ou qui ne m'intéressaient pas.
Bref, j'ai tellement souffert du style qu'il est fort possible que la connaissance de l'oeuvre de l'auteur ne m'aurait pas apporté les clefs nécessaires pour en apprécier les mécanismes.
Critique de Sallyrose
Sans doute aurais-je gagné à me renseigner sur l'auteur. J'aurais ainsi découvert son projet littéraire et n'aurais probablement pas été autant déçue.
Je viens de lire la 4e de couverture, elle est très éclairante sur l'approche de l'auteur. Je m'étais arrêtée aux premières lignes et j'avais pensé entamer un « roman sans fiction » sur les destins comparés de deux militants indiens, Ghandi et Pandurang Khankhoje dont je n'avais jamais entendu parler.
Eh bien, je n'en sais pas beaucoup plus. le livre est davantage le récit de la méthode de l'auteur qu'une biographie. le passé et le présent se mélangent, les digressions sont légion ainsi que les phrases à rallonge avec propositions relatives indigestes.
Heureusement, je maîtrisais certains sujets, notamment celui de Diego Rivera et de Léon Trotski. Mais ça m'a surtout servi de masque à oxygène, histoire de reprendre mon souffle entre deux passages dont je ne comprenais pas grand-chose ou qui ne m'intéressaient pas.
Bref, j'ai tellement souffert du style qu'il est fort possible que la connaissance de l'oeuvre de l'auteur ne m'aurait pas apporté les clefs nécessaires pour en apprécier les mécanismes.
