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Critique de CaroGalmard
Belle fresque romanticruelle qui vous plonge dans les arcanes de Venise, côté lumière avec les riches palais et les nobles plus riches encore, et côté sombre avec les pauvres, les ghettos, les prostitués, la maladie, les bandits.
Ca sent souvent pas la rose.
Et l'on assiste à ces thèmes qui semblent chers à l'auteur : les personnages qui luttent contre leurs passions faisant basculer leurs existences trop du côté Eros ou trop du côté Thanatos. Les travers passionnels de la religion et de la vie en société, sont eux aussi bien abordés. On a l'impression après lecture, de pouvoir discuter de la vie courante à Venise au XVIème siècle de manière tout à fait naturelle, comme on raconterait des vacances en Bretagne.
Alors ma note n'est pas supérieure, car j'ai beaucoup plus apprécié le Gang des rêves et je regrette que les sénarios de ces 2 romans aient beaucoup (trop) de similitudes.
Faut-il le lire ? Oui. Très imagé, belle écriture. Personnages toujours aussi attachants, entre les faux-méchants/vrais-gentils, les gentils qui se croient méchants, les méchants très méchants et ceux qui deviennent gentils.
Ca sent souvent pas la rose.
Et l'on assiste à ces thèmes qui semblent chers à l'auteur : les personnages qui luttent contre leurs passions faisant basculer leurs existences trop du côté Eros ou trop du côté Thanatos. Les travers passionnels de la religion et de la vie en société, sont eux aussi bien abordés. On a l'impression après lecture, de pouvoir discuter de la vie courante à Venise au XVIème siècle de manière tout à fait naturelle, comme on raconterait des vacances en Bretagne.
Alors ma note n'est pas supérieure, car j'ai beaucoup plus apprécié le Gang des rêves et je regrette que les sénarios de ces 2 romans aient beaucoup (trop) de similitudes.
Faut-il le lire ? Oui. Très imagé, belle écriture. Personnages toujours aussi attachants, entre les faux-méchants/vrais-gentils, les gentils qui se croient méchants, les méchants très méchants et ceux qui deviennent gentils.
