Si le Gang des rêves avait été un véritable coup de coeur, mon ressenti ici est plus mitigé.
Je ne reproche rien à l'écriture de l'auteur, qui se lit parfaitement bien : les presque 1000 pages défilent sans qu'on ne les voit passer (même si la première partie m'a semblé un peu longue). J'ai cependant moins accroché au contexte de cette nouvelle histoire (Venise au XVIe siècle) et surtout, j'ai finalement eu l'impression de lire sensiblement la même histoire que dans le Gang des rêves... Un jeune garçon, qui a le don de "raconter" des histoires, ici en se déguisant, tombe amoureux d'une fille et fera tout pour qu'ils puissent être réunis même si tout les sépare.... C'est certainement pour ça au fond que j'ai pris moins de plaisir à lire ce roman, car j'avais ce sentiment de "déjà lu".
Encore une fois Luca di Fulvio prouve qu'il est un très bon conteur, même si je ressens personnellement une petite déception à la fin de cette lecture.
Commenter  J’apprécie         192