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Critique de Meygisan
Nouveau cycle avec ce tome 5 pour Takeo, qui parvient enfin sur l'île sans nom. Il y découvre un peuple soumis à des hommes sans scrupules qui débarquent chaque année pour piller leurs biens sans vergogne. le pillage est soldé par un duel qui voit s'affronter leur champion et celui des villageois. Cette année ceux ci ne peuvent présenter de champion.
On se doute de ce qui se profile face à tant d'injustice. le scénario trouvera certainement une voie pour placer Takeo en situation de sauveur des villageois. Mais ce sera surtout l'occasion de découvrir ses talents de sabreur face à Shobeï, samouraï vieillissant qui n'aspire qu'à mourir comme un vrai samouraï, c'est à dire le sabre à la main. Et qui de mieux placé et de suffisamment respectueux que Takeo pour lui offrir cette fin là.
Même si on se doute de la résolution qui interviendra dans le tome suivant, le cycle ne s'étendant que sur 2 volumes, c'est bien dans l'expression de l'honneur autour de ce duel que se situe la force du récit. Même s'ils se savent déjà adversaires, bien avant que le destin ne le définissent pour eux ( je parle de la scène dans la taverne), Takeo et Sobeï se respectent mutuellement avant tout.
On se doute de ce qui se profile face à tant d'injustice. le scénario trouvera certainement une voie pour placer Takeo en situation de sauveur des villageois. Mais ce sera surtout l'occasion de découvrir ses talents de sabreur face à Shobeï, samouraï vieillissant qui n'aspire qu'à mourir comme un vrai samouraï, c'est à dire le sabre à la main. Et qui de mieux placé et de suffisamment respectueux que Takeo pour lui offrir cette fin là.
Même si on se doute de la résolution qui interviendra dans le tome suivant, le cycle ne s'étendant que sur 2 volumes, c'est bien dans l'expression de l'honneur autour de ce duel que se situe la force du récit. Même s'ils se savent déjà adversaires, bien avant que le destin ne le définissent pour eux ( je parle de la scène dans la taverne), Takeo et Sobeï se respectent mutuellement avant tout.
