Samurai, tome 5 : L'Ile sans nom

Takeo est enfin parvenu sur l'île sans nom. Là-bas, une étrange maladie décime peu à peu les quelques habitants de l'île. C'est dans cette atmosphère funeste que le samurai débarque. Plus étrange encore, la fête que prépare les villageois pour accueillir ceux qui viennent les dépouiller une fois l'an de tous leurs biens... Takeo restera-t-il de marbre face à cette injustice ou bien combattra-t-il pour les villageois ?
Voilà un nouveau cycle qui semble encore plus prometteur que le précédent ! Ce cinquième tome est peut-être moins violent mais va plus près de l'émotion des personnages. le futur duel entre Shobei et Takeo promet d'être passionnant. En ce qui concerne les dessins, je les ai trouvé plus précis que d'ordinaire. Les visages et expressions des personnages sont plus affirmés, donnant ainsi plus de corps au récit..

Takeo est sur les traces de son frère et prend donc la direction de l'île sans nom mais sur place une maladie bien étrange met à mal les paysans locaux. de plus, ceux-ci sont persécutés par des Yakus chaque année…

Ce tome ouvre un nouveau cycle qui devrait être centré plus sur les duels que sur les grandes batailles précédentes. Cela relance à merveille la série.

Nouveau cycle avec ce tome 5 pour Takeo, qui parvient enfin sur l'île sans nom. Il y découvre un peuple soumis à des hommes sans scrupules qui débarquent chaque année pour piller leurs biens sans vergogne. le pillage est soldé par un duel qui voit s'affronter leur champion et celui des villageois. Cette année ceux ci ne peuvent présenter de champion.
On se doute de ce qui se profile face à tant d'injustice. le scénario trouvera certainement une voie pour placer Takeo en situation de sauveur des villageois. Mais ce sera surtout l'occasion de découvrir ses talents de sabreur face à Shobeï, samouraï vieillissant qui n'aspire qu'à mourir comme un vrai samouraï, c'est à dire le sabre à la main. Et qui de mieux placé et de suffisamment respectueux que Takeo pour lui offrir cette fin là.
Même si on se doute de la résolution qui interviendra dans le tome suivant, le cycle ne s'étendant que sur 2 volumes, c'est bien dans l'expression de l'honneur autour de ce duel que se situe la force du récit. Même s'ils se savent déjà adversaires, bien avant que le destin ne le définissent pour eux ( je parle de la scène dans la taverne), Takeo et Sobeï se respectent mutuellement avant tout.

un beau dessin, de belles couleurs où je n'ai pas à me forcer pour remarquer les détails : j'ai ENVIE de bien les observer. ce tome 5 nous est arrivé au gré d'un vide-grenier, mais je vais chercher les précédents et le suivant qui clôt la série. le récit est très intéressant à la réserve près que je n'ai pas compris d'où venait cette malédiction, les tomes précédents le diront peut-être?

Nouveau cycle en 2 tomes.
Cela me laisse espérer une histoire un peu plus dense.
C'est aussi un totalement changement d'ambiance et de décors. Plus de grande bataille mais plutôt des duels.
Un nouveau problème à régler et le mystère autour du personnage principal toujours aussi épais.
C'est vraiment de la lecture pour le plaisir parce que je n'ai pas vraiment l'impression que ça avance.

Takeo poursuit sa quette pour trouver son frère sur l'ile sans nom. Cette ile a l'air maudite avec une maladie contagieuse qui touche de très nombreux insulaires. de plus un chef de clan fait organiser des combats chaque année et pille les richesses de l'ile.
Toujours aussi intéressant et graphiquement très beau.

Après un premier cycle de quatre tomes, Jean-François di Giorgio et Frédéric Genêt remettent le couvert pour un nouveau diptyque avec de nouveaux personnages.

Après avoir mis des bâtons dans les roues du treizième prophète, Takeo reprend sa quête initiale, à la recherche de son frère, Akio. Une quête qui le mène sur l'île sans nom, dans un village racketté par une bande de yakuza.

Cette mise en place permet premièrement de découvrir les nouveaux protagonistes de cette histoire, ainsi que le conflit qui oppose ces habitants démunis à ce puissant seigneur venu prélever la dîme annuelle. Mais ce premier volet permet surtout de voir ce qui va amener Takeo à prendre la défense du village et à affronter le champion des yakuza en duel. le scénario est certes d'une grande simplicité, mais est parfaitement maîtrisé. Et même si le combat n'aura lieu que lors du second volet de ce diptyque, cette mise en bouche divertissante ne manque pas d'intérêt.

L'un des attraits est le dessin de Frédéric Genêt. le dessinateur continue de rendre avec réalisme ce japon médiéval, ces décors et ces costumes et livre de somptueuses scènes de combats, le tout brillamment mis en couleurs par Delphine Rieu.

Simple et efficace !

La meilleure Bd de samurai francophone avec kogaratsu.