Quelquefois j’ai envie de pleurer. Mais je prie pour devenir quelqu’un de bien et je retrouve confiance. Je vais trouver une solution
Pour moi, le problème, ce n’est pas mon voile, c’est la France
Cela faisait des mois que j’attendais ce moment dire au revoir à ma famille, mes amis. Partir à Paris. Seule. Pour y faire des études
La France que j'ai découverte ici n'a rien à voir avec la France que j'imaginais quand j'étais à Bamako. Tant que ce pays ne montrera pas un visage tolérant à l'égard des femmes qui portent un voile, je garderai une image d'hostilité.