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Critique de Diabolau


La Nouvelle-Orléans, années 50, entre jazz, drogue et crime industriel. En plein Mardi gras en plus, le cadre est plutôt sympathique !
Les deux premiers tiers, je me suis dit "ça y est enfin, Canales a trouvé sa vitesse de croisière, le propos s'est clarifié..."
C'était compter sans le dernier tiers, donc, où on retourne dans les écueils des tomes précédents et où ça re-sombre dans un joyeux foutoir bien tarabiscoté. de sorte que si je devais raconter toute l'histoire juste après l'avoir terminée, je resterais je crois dans les approximations.
Pourtant, le dénouement sur deux fronts entre Blacksad en pleine action d'un côté, et Sebastian qui entre en confession devant son piano dans un nightclub de l'autre, est plutôt très bien pensé, mais pour que ce soit totalement efficace, il aurait fallu - je me répète - clarifier le propos.
Même si c'est moins foutraque que le tome précédent, je vais donc répéter encore une fois que pour moi, le scénario de Canales n'est pas au niveau du succulent dessin de Guarnido. Ayroles met le dessinateur bien plus en valeur dans les Indes fourbes.
Et puis, par rapport au premier tome, on perd un peu le côté humoristique, c'est dommage.
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