A ce moment-là, Bala se met à pleurer et s’assied sur la chaise. Il ne sait pas quoi faire. C’est le moment le plus triste de la journée. Même s’il a trouvé une solution, comme savent le faire les solitaires. Ils font appel à leurs souvenirs.
(p. 32, Chapitre 7, “Bala ne va plus à l’école. Même si on le supplie. Même si on le lui ordonne.”).