J'ai été séduite par la pagination originale, la couleur crème du papier et l'illustration de couverture.
De la belle ouvrage.
C'est vrai que l'on n'est jamais mieux servi que par soi-même puisque l'auteur a créé sa propre maison d'édition à Genève "Rosie & Wolfe".
Après la forme, voyons le fond.
J'avoue que j'ai un peu galéré dans ma lecture à cause des nombreux retours en arrière et des retours en arrière dans les retours en arrière. Suis-je claire ? Peut-être pas.
J'ai donc été un peu déstabilisée, mais bon, ça n'est pas grave puisque j'ai pu suivre les histoires et les versions diverses des histoires. Suis-je claire ? Toujours pas.
Et puis ces références constantes à "
La Vérité sur l'Affaire Harry Quebert", comme si
Joël Dicker faisait sa propre publicité. Cela m'a dérangée, pour être polie, car c'était superfétatoire ( ben oui, j'aime cet adjectif ).
Et l'histoire, me direz-vous ?
Et bien, je ne vous en dirai rien car c'est très compliqué : une histoire à tiroirs avec un coupable idéal dans chacun d'eux.
En résumé : pas vraiment déçue, mais pas vraiment emballée non plus.
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