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Critique de Danage


On est loin de la vérité sur l'affaire Harry Quebert, et Du Livre des Baltimore, romans agréables, et émouvants.

Marcus Goldman n'est pas là, c'est Joël Dicker qui se met en scène : avec une acolyte fraichement rencontrée, Scarlett, Joël himself mène une enquête : pourquoi n'y a-t-il pas de chambre 622 dans cet hôtel Suisse ?

Dans un monde de banquiers, d'arrivistes, de faux semblants, nous faisons le yo-yo entre maintenant (les investigations donc l'écriture du livre), le moment du meurtre (et oui ! ) commis dans cette fameuse chambre et quinze ans avant ce meurtre.

L'intrigue (qui confine au grand n'importe quoi) est presque secondaire, le roman se veut un hommage à l'éditeur de l'auteur, Bernard de Fallois. Joël confie à Scarlett qu'en janvier 2011, Vladimir Dimitrijevic, fondateur des éditions L'âge d'homme à Lausanne, avait décidé de publier son cinquième livre (après quatre échecs). Qu'après la mort de Dimitrijevic dans un accident de voiture, il a rencontré Bernard de Fallois, qui, après des débuts difficiles est devenu son grand ami. Confidences et clins d'oeil agrémentent ce roman de… 759 pages (en poche). C'est long, lent, irréaliste. Mais c'est une aventure.

« La vie est un roman dont on sait déjà comment le héros se termine : à la fin, le héros meurt. le plus important n'est donc pas comment notre histoire s'achève, mais comment nous en remplissons les pages. Car la vie, comme un roman, doit être une aventure. Et les aventures, ce sont les vacances de la vie. »





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