pour citer
Diderot dans son livre: "De quelque côté que vous vous tourniez, vous avez tort. Si mon ouvrage est bon, il vous fera plaisir ; s'il est mauvais, il ne fera point de mal."
Ma critique est mitigée. On trouve dans ce livre tout ce qui a fait le sel des philosophes des lumières : anticléricalisme, moquerie de la noblesse et des privilèges nobles, esprit libertin, drôlerie..
Mais que c'est fouillis ! C'était bien évidemment voulu par l'auteur qui voulait ainsi conserver l'aspect "récit " de Jacques envers son Maître, récit qui n'en finit pas de digresser. Les amours de Jacques sont bien longues à raconter.
J'avoue m'être ennuyé autant que j'ai souri.
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