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Critique de fairy-man


Quand un comics porte le nom « année un », en générale il n'y a pas mieux pour commencer à se plonger dans l'univers du héros en question. Ici, c'est Oliver Quinn alias Green Arrow qui est à l'honneur avec le duo britannique Andy Diggle au scénario et Jock au dessin.
Ils s'avèrent particulièrement efficace pour compter les péripéties du jeune héros qui devra survivre sur son île ou bien des dangers l'attende.

Tout le monde le sais, Oliver Quinn est un jeune multi milliardaire qui n'en fait qu'à sa tête et qui se fiche du monde. Il croit que tout lui ai dû et que rien ne peut lui être refusé. Jusqu'au jour ou il se retrouve sur une île abandonnés, ou la survie est l'unique règle. Dans Green Arrow – année un c'est un peut différent, serte Oliver Quinn est pédant et grossier, mais il a une certaine sensibilité dès le départ du livre. de plus, il possède déjà des capacités au tir à l'arc. Un excuse pour le scénario sans nul doute, car une fois sur l'île il apprend tout seul et en peut de temps à tiré comme un vrai pro. Pour tout ceux qui font du tir à l'arc il y a là de quoi rire.
Mais passons cette aspect louche et concentrons nous plutôt sur l'exil du futur héros. Futur, car sur cette île il prend conscience de lui même et du monde qui l'entour mais ne pense qu'à ce sauver lui-même dans un premier temps et à se venger de la personne responsable de son isolement impromptu. Par la suite, il aidera des esclaves à ceux libérer de leur chaine pour ce rebeller et recouvrer la liberté. C'est ce qui le mènera sur la voie du héros que l'on connais tous.
Je vous ai un peut spoilé la fin c'est vrai, mais nécessaire pour vous faire comprendre que cette ouvrage est uniquement destinée à expliquer pourquoi et comment Green Arrow à vu le jour. Toute l'action ce passe sur l'île, la survie y ai très présente dans un premier temps et c'est tant mieux !
La pub dit que c'est le comics qui à inspirer la série téléviser Arrow. Je n'en suis pas sur, dans un premier temps peut être, mais la série est tout de même bien éloigné de la réalité ou l'inverse. Vous verrez.

Le dessin de Jock n'était pas encore à son apogée à l'époque. Il a dessiné cette série avant le célèbre run sur Batman Sombre Reflet au côté de Fransesco Franckavilla. Cependant, le dessin reste bon, peut détaillé et un peut trop désaxé sur certaine case, mais c'est son style en même temps.

Donc ce tome est très bon dans l'ensemble, avec quelque facilité au niveau du scénario comme du dessin, Jock ne s'est vraiment pas casser la tête pour dessiner l'arc et les flèches (un bâton avec quelque ombre et puis basta ! )
L'éditeur Urban Comics ne pouvait pas mieux débuter sa collection sur Green Arrow, ce tome leur permet à la fois de satisfaire les fans, avec un super format Deluxe et des bonus de fin, mais aussi de surfer sur la vague de la série américaine Arrow et en plus de ramener de nouveau lecteur puisque c'est un point départ sur le héros.
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