Citations sur Boucar raconte, tome 1 : Le Brunissement des Baleines.. (28)
- Les gaz à effet de serre, mon petit, c'est comme les Kamikazes : ils sont discrets et ne pensent qu'à monter au ciel, répondit le phoque.
C'est une belle et poétique histoire pour enfants, mais elle me semble invraisemblable.[...]" "Tu ne comprends pas. Ce qui est important dans cette histoire, c'est la morale de la fin. Dans un conte, on peut prendre un légume et en faire un super-héros, pour autant que ses actions contribuent à améliorer la société dans laquelle on vit."
Je me demande, fit le Cajun, si Beethoven ou Mozart savaient qu'un jour leur musique serait écoutée par les morues..." "Je suis certain, cracha Joe Groenland, que s'ils l'avaient su, ils n'auraient pas créé une si belle musique [...]"."
Si ce n’était du pétrole, les baleines auraient continué à alimenter de leur graisse les réverbères des villes européennes jusqu’à leur complète disparition. Malheureusement, depuis la découverte du pétrole, les humains en ont tellement abusé qu’il a engendré la plupart des maux dont souffre notre planète. Ce qui veut dire, mon cher Cajun, que cette huile minérale qui, croyait-on, allait sauver les baleines risque en fait de devenir le principal responsable de leur disparition.
C’était le mois de juillet. Dans l’estuaire du Saint-Laurent, un troupeau de bélougas assistait à la naissance d’un des leurs. Encouragée par la présence de ses proches, Delphi, la mère, poussait de toutes ses forces, jusqu’à ce que pointe enfin la queue de son petit. Au bout d’un long travail, elle mit au monde un joli mâle et se retourna sur le dos pour lui donner du lait.
Aussitôt, les autres bélougas vinrent se coller à la nouvelle maman et humer le bébé, une façon propre à ces mammifères marins de souhaiter la bienvenue aux nouveau-nés. Après les adultes, ce fut au tour de Miki, un nourrisson d’une semaine, de faire la connaissance de celui qui deviendrait son plus fidèle compagnon. «Pourquoi est-il arrivé la queue en premier? demanda-t-il à Delphi.
— Allons prendre une bouffée d’air et tu comprendras.»
Je suis Jo Groenland dit "le Voyageur". Je me suis produit sous tous les chapiteaux de la planète. J'ai dansé et fait tourner des ballons sur les musiques endiablées des Beatles et d'Elvis Presley. J'ai fraternisé avec des éléphants d'Afrique, des tigres du Bengale, des caïmans de l'Onénoque. Bref, je suis la fierté de tous les pinnèedes de la Terre.
Dans un conte, on peut prendre un légume et en faire un super-héros, pour autant que ses actions contribuent à améliorer la société dans laquelle on vit.
Si rien n'est fait, dans une vingtaine d'années, les seuls pingouins que l'on pourra admirer seront sur une patinoire à Pittsburgh.