c'est un délice de se perdre dans les souvenirs de cet écrivain sensible. Il se prête au jeu de faire revivre ses souvenirs dans le quartier des métiers du bois à Paris. On croit rêver de voir cette famille qui semble tellement unie. Ce bouquin fait furieusement penser aux souvenirs d'enfance de
Pagnol, pour n'être pas de la même région, ces deux auteurs n'en sont pas moins aussi poétiques l'un que l'autre et cette tranche de vie est vraiment un régal. Tout y a la fraîcheur, la tendresse parfois l'espièglerie de l'enfance... On en rêve.
Saluons ici cet écrivain qui nous a quitté en juin 2011 et qui vient de nous laisser une merveilleuse carte postale.
Commenter  J’apprécie         80