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Critique de BRUMANT


Ils s'arrangeaient toujours pour arriver dans les différents villages. Allez donc me chercher une contrée ou l'on ne dispose pas librement de ses os. A l'ombre bien faisante des mosquées. La solennité du moment avait partout banni la sieste,
Chaque fois que quelqu'un passait. C'est Said Oukasi du village de Igoudjdal. Espace de la Djemaa. Au sortir de la Guerre d'Algérie. Ils. faisaient des discours sur le licit et l'interdit. Une plaine qui s'étirait comme une journée impitoyable d'été. La terreur des bêtes de sommes. Les chalumeaux du ciel ou côtoyant les vieillards de la djemaa,leurs assises, nous étalent strictement interdites. l'assemblée des hommes ou Hand Ouzerouk aurait modifié sa parole. Amas d'os à conviction ? où il tient plus à ses ânes qu'à ses enfants. Amaouche a consenti à nous prêter sa monture. Il a toujours eu les plus belles bêtes du village. Des hamadas ou mon frère peut être à l'aise la ou il repose. Quel âge mon frère aurait eu si de berger, il était devenu fellah. La montagne se nomme Tamgout.
Rabah Ouali est à des kilomètres de la. le fumier noirâtre épandu sur les champs d'automne autour de la kouba un lion de l'Atlas à la main.
avec le marabout dans la zaouia. Il ne faut pas que le courage me manque.Mohand-oukaci revint d'un de ces voyages. Akki Ouzal le negre de midi comme le disait ma mère. Boubras est une ville comme je n'en ai jamais imaginé. Moh Abchir est le nom de notre bienfaiteur. Emmitouflée dans des kachabias. A Bouharoun je me suis endormi.
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