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Critique de Pachy
Philippe Djian ajoute dans ce roman de rentrée littéraire une pointe d'anticipation en nous transportant en 2030, époque qui n'est que dans dix années d'ici. Des avancées technologique et écologiques sont perceptibles à la lecture. On y parle d'une jeune femme qui, dans les années 2015 - 2020 était reconnaissable à son engagement et ses tresses. Jamais son nom nom n'est prononcé et cependant tout le monde en a entendu au moins une fois perler.
Le sujet du réchauffement climatique est de plus en plus préoccupant et les effets s'en ressentent de plus en plus. La pollution des sols est toujours aussi bafouée par Greg et Anton dont le labo répand une merde, le Montrazol capable de tuer. Conclusion l'argent est resté en 2030 le nerf de la guerre.
Des mouvements écologistes se battent mais les moulins à vent sont toujours les mêmes.
Philippe Djian, toujours aussi talentueux nous enrobe tout cela dans une histoire familiale associée à une histoire d'amour naissante. Les deux sont compliquées à souhait.
Les lecteurs qui n'aiment pas Djian n'aimeront pas non plus ce "2030", les autres vont prendre une bouffée de plaisir.
Le sujet du réchauffement climatique est de plus en plus préoccupant et les effets s'en ressentent de plus en plus. La pollution des sols est toujours aussi bafouée par Greg et Anton dont le labo répand une merde, le Montrazol capable de tuer. Conclusion l'argent est resté en 2030 le nerf de la guerre.
Des mouvements écologistes se battent mais les moulins à vent sont toujours les mêmes.
Philippe Djian, toujours aussi talentueux nous enrobe tout cela dans une histoire familiale associée à une histoire d'amour naissante. Les deux sont compliquées à souhait.
Les lecteurs qui n'aiment pas Djian n'aimeront pas non plus ce "2030", les autres vont prendre une bouffée de plaisir.
