La narratrice grandit entre deux figures féminines diamétralement opposées : une mère tyrannique et jalouse et une grand-mère absolument solaire. Comment se construire grâce à l'une, en dépit de l'autre ? Rapidement, les relations interpersonnelles s'avèrent sans enjeux malgré les rivalités annoncées, et s'enchaînent dans une répétition sans saveur.
Que
du temps de ma splendeur soit autobiographique ou non qu'importe, le tout manque d'amplitude, de direction, on a du mal à accrocher à ce récit de soi sans dimension.