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Critique de BurjBabil


La suite, même décor, mêmes psychopathes. En fait c'est un diptyque et je ne le savais pas . . . honte à moi. Il faut donc absolument lire les deux à la suite.
Les caractères des héros s'affirment, les contours du scénario se dessinent plus nettement que pour le tome 1 . Wiggins, l'ex gamin indic de Holmes, Gregson, le flic ennemi du désagréable Lestrade, et Faustine Clerval, la femme assistante et débrouillarde comme figure féminine féministe. C'est le trio gagnant de ce nouvel opus, servi par un nouveau malade mental aussi terrifiant que le précédent. le premier décapitait ses victimes le nouveau s'abreuve de leur sang. On dirait que les psychopathes modernes n'ont finalement pas inventé grand-chose finalement . . .
De quoi déclencher un plan vigivampire écarlate . . .
Le style est le même et on s'habitue petit à petit au découpage particulier qui m'avait gêné au début. Les planches sont graphiquement très travaillées, dessins très fins aquarellés. C'est noir, c'est sombre, c'est Londres à l'époque de Jack et d'éléphant man . . . en « guest star ».
Les clins d'oeil sont nombreux et il semble même que Bram Stoker se soit inspiré de l'auteur. Ou l'inverse. Ou les deux.
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