Ce roman se déroule avec comme toile de fond la ville de Rome : le narrateur s'y promène souvent, nous faisant découvrir la ville et les saisons qui rythment sa vie. J'ai aimé ces promenades dans la ville éternelle.
Qui est vraiment Constantin ? Nous ne le saurons qu'à la toute fin du roman : ce fut une telle surprise !
Il est souvent fait référence à un poème de Gérard de
Nerval. Constantin y glisse un document important.
Un roman que j'ai pris plaisir à lire, tentant de cerner le personnage du vieux monsieur érudit qui se prend d'amitié pour Yves.
L'image que je retiendrai :
Celle de la bibliothèque personnelle de Constantin que Yves et sa collègue mettent plusieurs jours à vider.
Une citation :
« – Eh bien
Michel-Ange, c'est pareil, la coupole
De Saint-Pierre, c'est l'estocade qu'il porte à Rome et à l'architecture. Depuis, Rome n'est plus qu'un cadavre abandonné dans une arène, sanglant et putrescent. » L'image ne manquait pas de vérité. »
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