« La ferme des animaux » revisitée.
Le taureau Stilvio, entouré de sa garde rapprochée de chiens féroces, règnent, en maître et par la terreur, sur son peuple constitué d'oies, lapins, ânes, chats.
Allégorie qui résonne particulièrement, dans notre monde contemporain rendu fou par des tyrans aux manettes de grandes nations.
Petit bémol sur cet ouvrage: sentiment de« rester sur sa faim » à la fin de la BD: pas de « the end », mais, comme tout scénario de série, une dernière scène qui pousse à lire la suite.
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