La contessa Sanziani lègue devant notaire des biens qui ne sont pas à elles à des bénéficiaires qui sont morts depuis des années.
Elle vit dans ses souvenirs, Carmela la femme de chambre de ce petit hôtel se prête au jeu par charité et trouve une éclatante récompense tandis que disparait la silhouette de celle qui fut attachée à
la volupté d'être et dont
Maurice Druon trace un portrait extraordinaire.
L'auteur a tiré de ce roman une pièce de théâtre intitulée "la Contessa" - les deux se lisent avec autant de bonheur.
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