Ce qui frappe dans ce tome, c'est la longévité de Robert d'Artois, qui semble tenir sa revanche. Mais la revendication des Anglais sur le trône de France est toujours d'actualité, et on en connaît la suite.
Toujours aussi puissant, prenant, documenté, ce livre passe pour le dénouement de la saga (je n'ai pas lu le tome 7) ; il est plus en intrigues et jeux d'influence qu'en coups de force sanglants, mais ce n'est pas pour ça que l'on souffle un peu.
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