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Critique de bdelhausse
Un tome 2 moins drôle au premier degré, mais très acerbe, cynique et un brin moralisateur... Quelques changements: Murphy joue un plus grand rôle. C'est le boutonneux, le "moche" comme disent Vicky et Jenny. Mais en fin d'histoire, il sort avec Lizon, bien arrangée également. Les auteurs lui font dire à Vicky une des répliques-clés de l'album: tu es moche à l'intérieur.
Ensuite, Dan change de rôle également. Il voit clair dans le jeu de Vicky et Jenny, et il prend une part active en éloignant le duo de pouffes de sa copine. Car, oui, Karine et Dan sortent ensemble. D'ailleurs, John John aussi déclare sa flamme à Jenny. Vicky se retrouve à l'hosto, seule.
Et c'est la grande nouveauté de cet album. Vicky et Jenny sont bêtes ET méchantes. Elles se détestent mutuellement. Tout comme elles détestent leur entourage. Vicky parce qu'elle est sous la coupe de ses parents et de l'image de "bouboule" qu'elle traîne (rappelée par sa grande soeur). Jenny par son environnement familial, avec une mère alcoolique et le chaos à la maison.
Enfin, si on a majoritairement des gags en une page, les auteurs développent des gags en 2 ou 3 pages, ce qui n'est pas plus mal et montre qu'ils ont un potentiel pour un récit plus long.
Finalement le titre est à contresens: les moches se débrouillent finalement bien. A moins que les moches ne le soient pas uniquement par le physique, et on en revient à la phrase de Murphy citée plus haut.
Ensuite, Dan change de rôle également. Il voit clair dans le jeu de Vicky et Jenny, et il prend une part active en éloignant le duo de pouffes de sa copine. Car, oui, Karine et Dan sortent ensemble. D'ailleurs, John John aussi déclare sa flamme à Jenny. Vicky se retrouve à l'hosto, seule.
Et c'est la grande nouveauté de cet album. Vicky et Jenny sont bêtes ET méchantes. Elles se détestent mutuellement. Tout comme elles détestent leur entourage. Vicky parce qu'elle est sous la coupe de ses parents et de l'image de "bouboule" qu'elle traîne (rappelée par sa grande soeur). Jenny par son environnement familial, avec une mère alcoolique et le chaos à la maison.
Enfin, si on a majoritairement des gags en une page, les auteurs développent des gags en 2 ou 3 pages, ce qui n'est pas plus mal et montre qu'ils ont un potentiel pour un récit plus long.
Finalement le titre est à contresens: les moches se débrouillent finalement bien. A moins que les moches ne le soient pas uniquement par le physique, et on en revient à la phrase de Murphy citée plus haut.
