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Critique de nicolegarrier
J'ai été déconcertée par ce livre. Je n'ai jamais été très enthousiaste lors de sa lecture, parfois un peu perdue et pourtant j'avais envie de le reprendre. La première partie raconte la manifestation des étudiants mexicains se concluant à Iguala par le massacre de 42 d'entre eux. Elle sert d'ancrage à l'histoire. Elle est longue, essoufflante et on reprend sa respiration dans la partie suivante avec le fuite d'Alvaro aux Etats-Unis, le style d'écriture de Pierre Ducrozet suivant le rythme de l'action. Ensuite, j'ai eu plus de difficultés à entrer dans le monde de la Silicon Valley où Alvaro se trouve contraint à assumer un rôle de cobaye afin d'assouvir le rêve d'immortalité d'un savant fou. Mais cela m'incite à me renseigner davantage sur les recherches actuelles menées sur le transhumanisme. Un livre qui conduit à se poser des questions...
