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Critique de lechristophe
Le cycle de l'Horloge se termine dans cet album intitulé "L'ombre de la tour" grâce à une série de rebondissements que j'ai trouvés par trop brumeux. À la fin, je me suis dit "Bof ! Tout ça pour ça !". Heureusement qu'il y a la quête personnelle parallèle de Parmeno, qui cherche à se venger d'un passage à tabac, pour amener un peu d'humour.
De plus, je n'ai pas compris tout le problème de l'ingénieur Ferracina avec le décalage de neuf minutes de l'horloge. Est-ce un vrai défaut de l'Horloge de Rainieri ou un ajout de Dufaux, et dans ce cas, ça a plus embrouillé le scénario qu'autre chose.
Enfin, dernier petit couac, Griffo a décidé d'apposer des lèvres "à la Johnny Hallyday" à ses personnages dans certaines planches et ils en deviennent grotesques.
Est-ce que, comme dans de nombreuses séries de BD, la qualité de Giacomo C. va en diminuant avec le nombre d'albums ?
De plus, je n'ai pas compris tout le problème de l'ingénieur Ferracina avec le décalage de neuf minutes de l'horloge. Est-ce un vrai défaut de l'Horloge de Rainieri ou un ajout de Dufaux, et dans ce cas, ça a plus embrouillé le scénario qu'autre chose.
Enfin, dernier petit couac, Griffo a décidé d'apposer des lèvres "à la Johnny Hallyday" à ses personnages dans certaines planches et ils en deviennent grotesques.
Est-ce que, comme dans de nombreuses séries de BD, la qualité de Giacomo C. va en diminuant avec le nombre d'albums ?
