Des millions de personnes ne sont pas seulement inquiètes pour la fin du monde, mais d'abord angoissées par la fin du mois.
On peut passer d'une stricte approche quantitative de la demande à une vision qualitative, qui peut elle aussi s'avérer un vivier d'emplois et de création de richesse.
« Je suis le changement que je veux voir dans le monde » est un slogan qui fait florès dans les mobilisations pour le climat. Il résume bien le rapport à la responsabilité individuelle dans l'engagement. Moins d'idéologie, moins de discours, plus d'actions ponctuelles et personnelles.
En bons douaniers de l'orthodoxie, la vieille gauche et la vieille droite en sont venues à ce vieux mantra qui impose la soumission : il n'y a pas d'alternative.
Avant les grands bouleversements, un système donne toujours l'impression d'une solidité éternelle.