Un livre sans esbrouffe, tout simple à lire si l'on veut, mais avec par ci par là des petites phrases qui font mouche au milieu d'un récit dit d'une façon détachée. C'est que l'homme qui raconte le fait à la fin de sa vie, il "doit" écrire sur "cette période de triste mémoire... qu'il a traversée sans bruit comme ces souris qui longent les murs, l'obscurité venue".
L'humour est discret, plutôt de l'ironie. Face à la guerre, qui sait ce que nous ferions? le roman répond à sa façon à cette question.
Commenter  J’apprécie         20