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Critique de Apoapo


Il reçoit des injonctions - au futur qui est impératif, au pluriel de politesse - sur son regard, qui se doit d'être sa manière d'être. Il avance le long de la rive de l'océan, quelque part dans l'hémisphère Sud sans doute, près d'un chien et d'une mouette tragique.
Il est sorti du champ de la caméra. Son absence soudaine symbolise une rupture amoureuse, un abandon.
Elle commence alors la narration à la première personne, elle a entrepris d'écrire, de faire un film. Elle se trouve sur la terrasse d'une maison, près de tourterelles au vol de velours dans un buisson de rosiers.
Elle décide qu'il réapparaîtra dans l'image. Mais cette fois il regardera la caméra, comme si « c'était elle, la caméra, qui la première avait voulu [le] tuer. » (p. 26).

Excipit : « C'est ainsi que vous vous tenez face à moi, dans la douceur, dans une provocation constante, innocente, impénétrable. 
Vous l'ignorez. »

[La lecture en voix off de l'intégralité du texte peut bien avoir une durée compatible avec celle d'un film.]
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