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Critique de koalas
Rien ne va plus pour le détective James Jones en pleine crise de la quarantaine, à deux doigts de se reconvertir dans les assurances . Il était moins une lorsque Judy, une ancienne amie avec qui il a fait les 400 coups dans sa jeunesse l'appelle pour retrouver Pablo Norman son compagnon qui a subitement disparu de la circulation. La dernière fois qu'on l'a vu, c'est à El Paso. Coïncidence , pas loin de là où est originaire James Jones. le détective heureux de retrouver son trou natal et ses anciennes fréquentations va vite reprendre du poil de la bête...Au menu sexe, drogue et rock'n'roll pour cette virée qui va s'avérer des plus infernales !
James Durham ne fait pas dans la dentelle dans cette série noire, ça canarde dans tous les sens , au propre comme au figuré . Son détective n'y va pas par quatre chemins, il sort l'artillerie lourde et tire dans tous les coins au point que cela en devient vite malsain. La tournée des grands ducs finit comme on peut l'imaginer, en orgie sanglante. Vous l' avez compris, le scénario vaut pas deux balles. Dommage, j'avais un faible pour la musique de Sharlalou la chanteuse country qui apaise les moeurs mais pas les coeurs.
La fenêtre obscure, je l'ai refermée aussi sec !
James Durham ne fait pas dans la dentelle dans cette série noire, ça canarde dans tous les sens , au propre comme au figuré . Son détective n'y va pas par quatre chemins, il sort l'artillerie lourde et tire dans tous les coins au point que cela en devient vite malsain. La tournée des grands ducs finit comme on peut l'imaginer, en orgie sanglante. Vous l' avez compris, le scénario vaut pas deux balles. Dommage, j'avais un faible pour la musique de Sharlalou la chanteuse country qui apaise les moeurs mais pas les coeurs.
La fenêtre obscure, je l'ai refermée aussi sec !
