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Critique de Yvan_T
«Le Hameau des Chênes» est le premier tome de ce nouveau cycle de Travis. Un triptyque dont le premier tome (6.1) sera dédié à Travis, le deuxième abordera (parallèlement au tome 6.1) les exploits de son nouvel ami Vlad Nyrki, quant au troisième tome, il regroupera les deux compères afin de conclure le cycle Vitruvia.
Afin d'agrandir l'astroport Est Parisien, le puissant consortium Vitruvia doit détruire un lotissement et en chasser les habitants, dont le père de l'oncle Terry, le meilleur ami de Travis.
Un épisode donc moins spatial, avec ce retour sur terre de Travis et Terry. du coup, on ne retrouve plus ce déracinement et le plaisir de plonger dans cet univers de Travis et Carmen McCallum. Durant la descente sur terre, il y a bien cette petite référence (le centre technologique de Samuel Earp) à l'univers de "Carmen McCallum", mais une fois sur terre, le dépaysement n'est plus là.
En plus, ce nouveau cycle démarre assez lentement avec plusieurs planches sur le passé du père de Terry, allant de son divorce jusqu'au craquèlement tiré en longueur de son bien immobilier. Et tout cela pour des retrouvailles plutôt bâclées. Les nouveaux personnages, dont le duo Dammers & Jojo, ne sont pas mal, mais ne parviennent pas à combler le vide laissé par Vlad Nyrki et Pacman.
Au niveau de l'histoire on retrouve un Travis qui lutte à nouveau pour défendre l'opprimé, avec en arrière-plan des multinationales qui tirent toujours les ficelles, mais avec en avant-plan une histoire de magouilles immobilière et d'expulsions peu attrayante.
Par contre, même si les décors sont moins futuristes à cause du retour sur terre, le dessin de Christophe Quet reste à la hauteur et donne même l'impression de se bonifier. Il développe toujours avec autant de brio et de réalisme son univers technologique, allant d'un exo-squelette qui permet au corps de se réhabituer à la pesanteur ou du robot détective Jojo, à cet Tarentule qui attend de s'attaquer au Hameau des Chênes et que l'on devrait retrouver dans le dernier tome de ce triptyque. le tout est agréablement colorisé par ordinateur par le duo Schelle & Rosa.
Afin d'agrandir l'astroport Est Parisien, le puissant consortium Vitruvia doit détruire un lotissement et en chasser les habitants, dont le père de l'oncle Terry, le meilleur ami de Travis.
Un épisode donc moins spatial, avec ce retour sur terre de Travis et Terry. du coup, on ne retrouve plus ce déracinement et le plaisir de plonger dans cet univers de Travis et Carmen McCallum. Durant la descente sur terre, il y a bien cette petite référence (le centre technologique de Samuel Earp) à l'univers de "Carmen McCallum", mais une fois sur terre, le dépaysement n'est plus là.
En plus, ce nouveau cycle démarre assez lentement avec plusieurs planches sur le passé du père de Terry, allant de son divorce jusqu'au craquèlement tiré en longueur de son bien immobilier. Et tout cela pour des retrouvailles plutôt bâclées. Les nouveaux personnages, dont le duo Dammers & Jojo, ne sont pas mal, mais ne parviennent pas à combler le vide laissé par Vlad Nyrki et Pacman.
Au niveau de l'histoire on retrouve un Travis qui lutte à nouveau pour défendre l'opprimé, avec en arrière-plan des multinationales qui tirent toujours les ficelles, mais avec en avant-plan une histoire de magouilles immobilière et d'expulsions peu attrayante.
Par contre, même si les décors sont moins futuristes à cause du retour sur terre, le dessin de Christophe Quet reste à la hauteur et donne même l'impression de se bonifier. Il développe toujours avec autant de brio et de réalisme son univers technologique, allant d'un exo-squelette qui permet au corps de se réhabituer à la pesanteur ou du robot détective Jojo, à cet Tarentule qui attend de s'attaquer au Hameau des Chênes et que l'on devrait retrouver dans le dernier tome de ce triptyque. le tout est agréablement colorisé par ordinateur par le duo Schelle & Rosa.
