Son style faussement léger est porté par une méticulosité au niveau des descriptions, du détail, c'est l'art qui imite la nature, ou le contraire, une prose dont la mécanique précieuse, digne de l'horlogerie suisse, donne à ses sept récits, ou plutôt sept tableaux, ou cartes, ou ponts, ou livres, que sais-je encore, une formidable densité. La lecture de ce
Caprice de la Reine est captivante, étonnante, instructive aussi. J'aurais pu choisir presque n'importe quel passage du livre tant il est bon du début à la fin, mais, s'il fallait faire un tri, alors je recommanderais avant tout Génie civil, formidable, et
Caprice de la reine, court récit très echenozien si l'on peut dire...
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