En sa tour, Annabelle

Je n'avais pas été convaincu par sa nouvelle parue dans Utopiales 2012. Cette nouvelle lecture confirme ce ressenti. Elle est poétique, et du coup, ne raconte pas grand'chose de fantastique. Pour moi, elle n'est d'aucun genre des littératures de l'imaginaire.

C'est une bonne nouvelle qui ne me donne pas spécialement envie de découvrir le reste de l'oeuvre de cet écrivain. Comme La Fin de Léthé, où l'auteur aborde la maladie d'Alzheimer, celle-ci est l'occasion de traiter de l'incompréhension de l'humain lambda face à ce qu'il n'est plus socialement correct d'appeler la folie.

En bref : Heureusement qu'elle ne fait que 4 pages. En numérique, j'aurais eu beaucoup de mal à en lire plus.
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