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Critique de Entournantlespages
Dans un univers des années 90 qui rappelle celui de Tolkien et de Robert Jordan, David Eddings nous propose une intrigue fantasy manichéenne mais non pas moins sympathique, dotée d'une ambiance bon enfant et nostalgique. La Reine des sortilèges, deuxième tome de la Belgariade, est dans la droite lignée du premier.
Avec des qualités et des défauts différents, je trouve pourtant que les deux premiers tomes se valent et donnent une ambiance de franche camaraderie propre au romans du genre dans les années 90, donnant à cette saga un goût désuet mais touchant. La Belgariade peut être une bonne entrée dans la fantasy pour un public adolescent. Mais elle ne correspondra pas totalement aux envies du public adulte d'aujourd'hui qui, majoritairement, s'attend à une intrigue sombre, à de la violence, à de la profondeur psychologique et à des duels moins manichéens. Pour ce qui de la quête identitaire de Garion et de la découverte de ses pouvoirs, elle pourra parfois faire penser à celle de Fitz dans L'Assassin royal.
Lien : https://entournantlespages.w..
Avec des qualités et des défauts différents, je trouve pourtant que les deux premiers tomes se valent et donnent une ambiance de franche camaraderie propre au romans du genre dans les années 90, donnant à cette saga un goût désuet mais touchant. La Belgariade peut être une bonne entrée dans la fantasy pour un public adolescent. Mais elle ne correspondra pas totalement aux envies du public adulte d'aujourd'hui qui, majoritairement, s'attend à une intrigue sombre, à de la violence, à de la profondeur psychologique et à des duels moins manichéens. Pour ce qui de la quête identitaire de Garion et de la découverte de ses pouvoirs, elle pourra parfois faire penser à celle de Fitz dans L'Assassin royal.
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