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Critique de 4C


4C
01 novembre 2019
L'auteur de cette bande dessinée est Déborah Ellis qui a d'abord écrit le roman en 2003 en anglais puis la bande dessinée en 2018. Il a aussi été adapté en film en 2017.

Il s'agit de l'histoire de Parvana et de sa famille musulmane qui vit à Kaboul en Afghanistan en 2001.Parvana est la fille de Baba Nurullah Alizai et de mana Jan. le papa de Parvana se fait arrêter alors qu'il n'a rien fait de mal. Il faut alors trouver comment nourrir et protéger la famille.

Avec sa mère et sa soeur, Parvana décide de se couper les cheveux pour qu'elle devienne un garçon et qu'elle puisse travailler pour nourrir sa famille et aussi la protéger.

Cette histoire me fait penser aux traditions des musulmans et à la difficulté pour les femmes de s'imposer par rapport aux hommes. Cela me fait aussi penser à la violence subie par les hommes en temps de guerre et je crois qu'avant dans notre pays, c'était un peu la même chose .
J'ai bien aimé ce livre car il parlait du droit des femmes par rapport aux hommes. Je pense que l'auteur voulait dénoncer la violence par rapport aux femmes et la discrimination.
Je donne trois étoiles à cette BD.
Tihane, 4C

L’auteur de cette bande dessinée se nomme Déborah Ellis. Elle a été écrite en 2016 en anglais. Elle a été traduite par Shelley Tasaka. La BD a aussi été réalisée en film par Nora Twomey. C’est une bande dessinée car il y a des onomatopées dans plusieurs bulles et qu’il y a des images en couleur, bien plus que dans un roman.
Il s’agit de l’histoire de Parwana, une jeune fille de onze ans et de sa famille qui vit à Kaboul en Afghanistan sous le régime des Talibans. Son père se nomme Nurullah Aliyai, sa mère Mama-Jan, sa sœur s’appelle Soraya et son petit frère Zaki. Le père de Parvana s’est fait arrêter mais malheureusement lui seul avait le droit de travailler ; les femmes n’ont pas ce droit et elles ne doivent jamais sortir de chez elles. La famille de la jeune fille se retrouve alors en manque d’argent et donc manque de nourriture.
Parvana, le personnage principal, essaye d’aider sa famille en faisant des petits boulots, elle est accompagnée par une jeune fille de son âge, Shauzia, maintenant appeler Delinvar. Un jour, en allant au marché pour acheter de la nourriture pour sa famille, elle se fait poursuivre par des hommes ralliés aux Talibans. Ces hommes se battent contre les ennemis de l’Islam.
Quand j’ai lu ce livre ça m’a rappelé une personne de mon entourage qui s’est convertie à l’Islam.
Je pense que ce livre est destiné à tout le monde et que nous ne pouvons pas hésiter sur le sens du texte car il est flagrant. Déborah Ellis traite le sujet de l’inégalité entre les hommes et les femmes ; j’ai ressenti de la pitié pour ces femmes car elles n’ont aucun droit par rapport aux hommes. J’ai adoré lire cette BD car l’histoire est passionnante. Cependant, quand j’ai fini le livre, j’ai eu l’impression de ne pas avoir fini, la fin n’est pas complète. Je pense avoir compris le sens du livre même si je n’ai pas compris la fin. J’approuve le point de vue défendu par ce livre : il n’est pas juste que les femmes n’aient rien le droit de faire.
Ce qui m’a le plus marquée, c’est quand la mère se fait taper par un homme seulement car elle possédait une photographie.

Jessie, 4C

Lien : http://www.lirelire.net/2018..
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