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Critique de mayim
Roman intelligent et plein d'action dont on tourne les pages à la vitesse de la lumière (ahahah, trop facile…). Il y a du rythme et du suspense pour sûr ! On sent bien la documentation profonde et sérieuse. Les parties techniques ne sont pas toujours faciles à suivre mais on comprend la trame principale, c'est l'essentiel.
Ce livre nous met devant le constat de notre dépendance à l'énergie et nous pose la question de notre vulnérabilité. Sur quoi repose la civilisation telle qu'on la connaît ? Est-elle aussi fragile que le roman nous le décrit ? Pourrait-elle s'écrouler si rapidement et notre humanité avec ? C'est clairement effrayant et on a envie de faire le plein de réserves d'eau, de conserves, de médicaments, de bougies, d'allumettes…
J'ai eu un peu de mal au début avec le découpage de l'histoire en plusieurs lieux et avec les nombreux personnages. Je suis rentrée vraiment dans le roman seulement quand l'accumulation de nouvelles situations s'est arrêtée, après 90 pages environ. du coup, on ne s'attache pas réellement aux personnages qui ne sont parfois qu'esquissés. de plus, j'ai trouvé quelques passages d'action franchement improbables alors que d'autres scènes de drames humains plus intimes sont en revanche très crédibles et totalement terrifiantes. le style d'écriture sert l'action et n'a rien de bien excitant en lui-même.
En tout cas, le but de l'auteur, tel qu'il l'écrit dans la postface, est de divertir et de provoquer la réflexion. C'est entièrement réussi !
Ce livre nous met devant le constat de notre dépendance à l'énergie et nous pose la question de notre vulnérabilité. Sur quoi repose la civilisation telle qu'on la connaît ? Est-elle aussi fragile que le roman nous le décrit ? Pourrait-elle s'écrouler si rapidement et notre humanité avec ? C'est clairement effrayant et on a envie de faire le plein de réserves d'eau, de conserves, de médicaments, de bougies, d'allumettes…
J'ai eu un peu de mal au début avec le découpage de l'histoire en plusieurs lieux et avec les nombreux personnages. Je suis rentrée vraiment dans le roman seulement quand l'accumulation de nouvelles situations s'est arrêtée, après 90 pages environ. du coup, on ne s'attache pas réellement aux personnages qui ne sont parfois qu'esquissés. de plus, j'ai trouvé quelques passages d'action franchement improbables alors que d'autres scènes de drames humains plus intimes sont en revanche très crédibles et totalement terrifiantes. le style d'écriture sert l'action et n'a rien de bien excitant en lui-même.
En tout cas, le but de l'auteur, tel qu'il l'écrit dans la postface, est de divertir et de provoquer la réflexion. C'est entièrement réussi !
