La parole des malades (ou du moins une partie, infime, peut-être, sans doute, la plus poétique ou fulgurante) reçue, mise en texte écrit par
Marco Ercolani et
Lucetta Frisa.
Chaque année constituant un chapitre. Certains noms, certaines voix revenant plusieurs fois, évoluant ou on à partir de leur thème principal.
Souffrance, mais qui passe à travers des mots forts, et assez souvent superbes – cette façon d'aller au coeur des choses par des chemins autres (ou de se fourvoyer avec rigueur).
Beaucoup mieux qu'un témoignage. L'humain, et oui la poésie au sens vrai.
Une belle traduction de
Sylvie Durbec.
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