Audrey Hepburn : Souvenirs et trésors d'une femme d'élégance

"Ma plus grande victoire a été d'apprendre à m'accepter en tant que personne, avec tous mes défauts... Je suis loin de ressembler à l'être humain que j'aimerais être. Mais j'ai décidé que je n'étais pas si mal, après tout."

Seules la simplicité et la vérité comptent. On ne peut les feindre, cela doit venir de l'intérieur.

J'aurais préféré être une experte en éducation, en économie, en politique, en religion, en traditions et cultures du monde. Je ne suis rien de tout cela, mais je suis une mère, et je voyagerai.

"Ma vie a été bien plus qu'un conte de fées."

" Dans un monde où, en quelques semaines, on peut lancer une campagne militaire de plusieurs millions de dollars impliquant une ribambelle de pays, des centaines de milliers d'hommes et de femmes, et exigeant le déploiement de solutions d'urgence à de véritables cauchemars logistiques, dans ce monde, en cette période de l'histoire, la famine, où qu'elle soit, et particulièrement lorsqu'elle touche les enfants, est inutile et scandaleuse. " Prononcés par Audrey il y a près de quinze ans, ces mots restent encore d'actualité aujourd'hui.

Dans un orphelinat à Mekelee, Audrey rencontre le père Chasade, un prêtre catholique dont la petite phrase la hantera si profondément qu'elle la réemploiera souvent pour parler de l'Ethiopie : " Si vous ne pouvez m'envoyer de nourriture pour mes enfants, alors envoyez-moi des pelles pour creuser leurs tombes."